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Nous avons essayé • Thunderobot ST-Plus
Le robot !
Et mes fesses sont en teflon ?
La batterie !
La tranche !
Une autre tranche !
De face
De dos !
La bête ouverte
HDD et SSD
En marche !
Le beau clavier qui brille

• Un air de déjà vu

Thunderobot est une firme chinoise et comme ces dernières ont pour habitude de largement s'inspirer de ce qui existe, on a commencé ce test en ayant ça en tête. Bien nous en a pris, car au premier coup d'œil l'engin nous a rappelé quelque chose. On commence à en faire le tour et nous verrons une fois à l'intérieur si vous avez trouvé.

 

Le robot ! [cliquer pour agrandir]Et mes fesses sont en teflon ? [cliquer pour agrandir]La batterie ! [cliquer pour agrandir]

 

Voici l'engin à sa sortie de la boîte : châssis noir simple pour le bas et gris pour le dos de l'écran. Les plastiques ne sont pas tous de qualité égale, le noir est du niveau de ce que l'on trouve chez MSi ou ASUS, en revanche le gris est de qualité médiocre, marquant facilement. Le modèle que nous avons en test a d'ailleurs eu le droit à une éraflure sur le bas à cause du chargeur. Comment ce dernier est-il arrivé là ? Dans un test tout bête reproduisant un geste fréquent, poser le chargeur sur le portable pour le déplacer. Ça n'enlève rien aux capacités de l'appareil, mais pourra en refroidir certains. Les dimensions annoncées par le constructeur sont respectées, vous vous en seriez doutés. Côté batterie, c'est du démontable (un plus, car ça n'est plus vraiment le cas sur tous les modèles) et c'est un petit bloc de 47 Wh à six cellules qui fera le travail, autant dire que l'usage se veut "connecté" car l'autonomie sera tout à fait limitée.

 

La tranche ! [cliquer pour agrandir]

Une autre tranche ! [cliquer pour agrandir]

De face [cliquer pour agrandir]

De dos ! [cliquer pour agrandir]

 

Passons aux tranches de l'appareil. Le côté droit se compose de deux connecteurs audio (casque/micro), de ports USB 3.0 (sur lesquels il faut forcer pour entrer un connecteur) et une découpe qui permettra au dissipateur de la carte graphique de faire son travail. Un choix étrange (mais pourtant courant) sur un modèle destiné au joueur, puisque c'est pile à l'endroit où un droitier posera sa souris, ce qui ne manquera pas de lui réchauffer les doigts en hiver. Du côté gauche, on a le reste de la connectique avec le chargeur, l'Ethernet, deux DisplayPort, un HDMI, un USB 3.0 Type-C, un USB 3.0 et un lecteur de cartes SD (HC/XC). La face avant n'a rien de sensationnel avec juste les DEL habituelles pour les indicateurs de charge, réseau, HDD et mise sous tension. On finit par l'arrière, où l'on trouve deux découpes qui pourraient faire penser que l'air chaud partira par là, mais une seule est réelle et permettra au dissipateur du processeur de faire son travail. Si vous vous êtes penchés sur la fiche technique donnée par le site du constructeur, vous aurez remarqué qu'il y a plus de connectique sur la machine que sur le papier. Passons à l'intérieur.

 

La bête ouverte [cliquer pour agrandir]

 

Maintenant que nous sommes à l'intérieur, peut-être avez-vous reconnu l'engin ? Pas encore ? La partie logicielle vous y aidera. Le démontage en est aisé (un plus pour la réparabilité) et le placement des composants est assez cohérent (à part la ventilation sur la main d'un utilisateur droitier). L'engin est, de base, équipé de 8 Go de DDR4-2133 de chez Samsung (tant pis pour la DDR4-2400 annoncée) sur une seule barrette, un emplacement est libre pour une éventuelle mise à jour et le stockage repose sur un SSD M.2 et un HDD SATA 6 Gb/s que nous découvrirons à la suite. Pour le reste c'est du tout soudé, GPU et CPU faisant corps avec la carte mère à jeu de puce Intel HM175.

 

HDD et SSD [cliquer pour agrandir]

 

Une fois démonté, voici ce qui composera le stockage de l'appareil. Un SSD M.2 de 120 Go de chez Samsung en charge du système d'exploitation (C:), qui est un CM871a M.2 2280 à NAND TLC, accompagné d'un HDD SATA 6 Gb/s 5400 tr/min de 1 To, un BarraCuda de chez Seagate. Une offre au niveau de ce que la concurrence propose, même si un 256 Go pour le système trouve plus facilement sa place chez le joueur aimant limiter les temps de chargement.

 

En marche ! [cliquer pour agrandir]Le beau clavier qui brille [cliquer pour agrandir]

 

Le tour du propriétaire étant fait, il est temps de mettre l'engin en fonction. Voici deux clichés de l'appareil activé, histoire de profiter de sa dalle mate (qui fera plaisir à ceux qui ne comprennent pas pourquoi les dalles brillantes arrivent à se faire une place sur les PC pour joueurs) affichant du FullHD (1920x1080 @60Hz), sans G-Sync car NVIDIA aurait alors fait payer la licence pour la chose, ce qui aurait fait grimper le prix de ce produit qui se veut accessible. C'est aussi l'occasion de jeter un œil au clavier intégralement rétroéclairé, essentiel à la survie du joueur. Vous n'aurez pas manqué de remarquer que l'appareil mouline sous Windows 10 et, côté logiciels additionnels, vous trouverez GeForce Experience pour gérer les pilotes du GPU, Flexikey pour configurer le clavier et Sound Blaster Cinema pour l'audio. En page suivante, nous allons jeter un œil aux logiciels et tester les performances du CPU avant de nous lancer dans du test plus poussé.

 



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